FRENCH FLASH FICTION: THE FINAL STORIES

And here are the last brilliant stories from the Year 12 and 13 highly commended entries in the French Flash Fiction competition 2021:

Sur une île isolée, il ne restait plus que deux hommes âgés qui parlaient la même langue. Chaque jour Jon et ses nombreux animaux rencontraient Paul pour maintenir leur langue ensemble. Un jour, Paul est allé rencontrer Jon. Mais en arrivant, il a remarqué que la porte était ouverte. Quelque chose n’allait pas. Paul est entré. John s’était éteint sur son fauteuil. Un mois plus tard, un notaire est arrivé avec le testament. Jon avait laissé à Paul son perroquet comme cadeau. Ce dernier s’est mis à pleurer quand le perroquet a commencé à parler la langue !

Harrison Cartwright, Year 12

Allô P-p-puis-je parler à Monsieur Bordeaux ? Il est là ?

Ouais c’est moi, imbécile. Tu veux quoi cette fois ?

On doit c-c-causer en personne… si c’est possible. J’peux pas te le dire maintenant.

Dis-moi, personne n’écoute, t’as fait quoi ?

J’ai… J’ai fait une p’tite erreur.

Mais t’as fait quoi ?

Il est devenu silencieux pendant un moment.

Mon coffre-fort a disparu. Ils ont fouillé tout mon appartement, ma chambre est en désordre.

Et ils ont pris combien ?

Tout.

Monsieur Bordeaux tenait le coffre-fort sur ses genoux.

Je suis désolé, mais j’peux rien faire, mon ami.

Elishe Lim, Year 12

L’Estrade

Je pense. Je pense à la puissance, aux possibilités infinies, aux occasions que cette estrade fournit. Je m’émerveille. Je m’émerveille devant la beauté de cette scène boisée : ses pièces distinctives, ses caractéristiques élaborées soigneusement et ses changements prévisibles des couleurs comme une discothèque monochrome.

Je regrette. Je regrette des erreurs que j’ai faites, des signaux que j’ai manqués, des occasions que j’ai gâchées. « C’est votre tour. »

J’espère. J’espère que j’ai bien pensé, que j’ai apprécié le moment, que je n’ai pas de regrets, que je peu m’exprimer en lettres et nombres… « Échec et mat ! »

Joseph Oluwabusola, Year 12

Il nous reste 24 heures.

J’ouvre la porte doucement. L’air se faufile dans ma maison. Je me sens bien. Mieux que bien; je me sens à la fois en sécurité et libre.

Il nous reste 16 heures.

Je sens une légèreté dans l’air, mais aussi plein d’espoir et de joie. La tension constante a disparu.

Il nous reste 8 heures.

La nuit tombe. Il fait un noir sombre, mais je n’ai plus peur. Plus besoin de me retourner en marchant. Plus besoin de craindre pour ma vie quand je marche seule dans la rue.

Il ne nous reste plus d’heures.

La journée sans hommes s’est terminée, mais elle était magnifique.

Safiyah Sillah, Year 12

Je me suis baladé dans la rue avec mon chien remuant sa queue. Ce matin était calme ; j’écoutais seulement le son des oiseaux qui chantent. Le soleil a jeté un coup d’œil à travers les nuages. Soudainement, mon chien est commencé à aboyer, avec un sens de l’urgence. Le ciel et les nuages a confondent en une couverture grise. Les vague de gens qui voyagent m’a frappé comme un tsunami. Vite et impitoyable. C’est lundi, le temps est venu de mettre vos masques pour la semaine. Préparez-vous, mais n’inquiétez pas, les jours passeront avant vous le connaissez !

Teniola Ijaluwoye, Y12

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