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FRENCH FLASH FICTION 2025: THE HIGHLY COMMENDED ENTRIES (Y12-13)

Following the publication of the winning and runner up entries, we are excited to present the highly commended entries for the Year 12-13 categories of this year’s French Flash Fiction competition!

A huge well done to all of our highly commended entrants!

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La bise

La panique fleurit dans mon estomac. J’essayais désespérément de me souvenir de ce que Madame avait dit ; il fallait que je paraisse français. Était-ce la gauche ou la droite d’abord ? Deux, trois ou quatre ? Je frappai à la porte, chaque bruit sourd étant un glas qui exacerbait ma peur.
« Bonjour ! Il était tout ensoleillé et souriant. J’ai respiré, soulagée, et je me suis penchée, tout irait bien enfin…
Un silence vide. Un rire gênant. Il a tendu la main. Oh, mon Dieu. La France et ses salutations incompréhensibles. La bise n’est pas une blague.

– Sofia McAllister, Year 12

Le petit fifre

L’oiseau regarde d’en haut, il s’envole au-dessus des troupes en marche. L’armée sur le terrain défile en cadence, chaque pas avec le battement d’un tambour. Le petit fifre joue en tête de la bande, l’esprit fixé sur ses doigts. Son rythme agile erre à travers la foule, soulevant la botte de chaque soldat un peu plus haut. Le petit fifre heurte une pierre, sa jambe se dérobe et son fifre échappe à son emprise – mais la mélodie du fifre sautille encore dans l’air. Elle sonne aux oreilles des soldats et danse vers le haut pour rejoindre l’oiseau en vol.

– Dominica Kay-Shuttleworth, Year 12

Dans les ruelles sinueuses de Montreval, une brume spectrale s’élevait, tissant des filaments d’ombre entre les pavés moussus. Léandre, un antiquaire aux mains tâchées d’encre, découvrit un grimoire scellé d’un sceau d’obsidienne. Intrigué, il brisa le cachet d’un geste fébrile.

 À peine eut-il murmuré les premières lignes que la pièce se métamorphosa : les murs suintèrent un encre abyssale, et une silhouette éthérée s’extirpa des pages, murmurant des secrets interdits. Trop tard. Le livre ne contenait pas un savoir ancien, mais une malédiction séculaire. Un cri déchira la nuit, et Montreval sombra dans l’oubli.

– Eddie Henderson, Year 12

Les derniers moments à la mort d’un cygne

La harpe étincelante m’entoure, la mélodie du violoncelle tournoyant par-dessus ma peau comme de l’eau, alors que mes bras tourbillonnent en haut, en bas. Une arabesque. J’imagine que la musique soit la seule chose qui me soutient, qui permet à mon cœur de continuer. Je baisse la tête, et-

‘Excusez-moi Madame, il ne faut pas être ici.’

Je lève les yeux. Je vois la salle de concert vacante, les chaises poussiéreuses. Toute-seule. Mes derniers souffles résonnent sous forme de la mélodie ; la mort de mon cygne.

‘Pardon’, je réponds, ‘j’ai dû me perdre.’

– Eva Saunders, Year 12

Je me souviens d’être assis devant le grand écran, me cachant de ma mère quand j’étais enfant. Et comment je me faufilais dans le cinéma avec les quelques francs que je pouvais rassembler chez nous, glissant devant le guichet comme une ombre. La lumière vacillait sur nos visages juvéniles tandis que la voix d’Arletty résonnait dans nos têtes, tissant des rêves d’un monde au-delà de la guerre. Dans ces salles obscures, nous oublions les rations, les couvre-feux, la peur. C’était notre rébellion. Un acte de défi contre le chaos de la guerre, un moment de magie volée dans un monde brisé.

– Preona Mohan, Year 12

L’Océan en Moi

Les chirurgiens m’ont ouverte.
Pas de cœur. Pas de poumons. Seulement un océan. Les vagues se brisaient contre mes côtes, un phare clignotait près de ma colonne vertébrale. Un navire voguait entre mes veines.
« Elle n’est… pas humaine », murmura l’un d’eux.
Je me suis redressée, les points de suture défaits. La marée montait, déversant de l’eau salée sur le sol.
« Je vous l’avais dit », ai-je dit, d’une voix résonnant comme une tempête. « Je n’étais pas faite pour ce monde. »
Puis le courant m’entraîna, au-delà des os, au-delà du souffle, jusqu’à ce que je me dissolve dans les vagues.
Le navire a poursuivi sa route.

– Gia Namoa, Year 12

Jardins crépusculaires, jardins qui rêvent…

jardins où l’espoir me grimpe à la gorge,

ta pommette un sacrilège peint en

lilas aqueux dans la lumière déclinante

du jour mourant; jardins de chaleur

essoufflé et tremblant.

Les étoiles s’affaissent dans

le ciel cobalt, elles détournent les yeux

de ce moment qu’elles ont vu avant,

ce moment où ta main pèse entre nous

comme une chose morte, tes os étranges

et spectrales dans les reflections pâles

des platanes; ce moment où je pense

que tu vas m’embrasser, 

que tu vas dire les mots

que tu ne diras jamais.

– Luke Roberts, Year 13

La Notre Dame

Je vous tois, les meufs et les keums, ils me regardent tous. Ce matin, Paris a le cafard, ça se voit. Elle attend son keum qui lui a posé un lapin – quel dommage. Elle se creuse la tête, elle semble vénère: “Suis-j’ouf ou est-il chelou?” Quand on parle du loup, on ne voit la queue. Un mec apparait, il porte un bouquet. Elle est si heureuse qu’elle a presque tombé dans les pommes. J’en ai vu des cœurs d’artichaut et ces événements font toujours chaud aux pierres.

– Amelia Richardson, Year 12

Je la cherche dans les souvenirs, dans les vieux albums qui se cachent, capturés par la poussière.
Je la vois dans les gens que je rencontre, et quand je vois la femme devant moi, je me souviens de l’infirmière distante qui tenait ma petite main fragile dans la sienne et qui m’emmenait chez nous.
Elle était une femme forte avec un cœur faible et en difficulté, mais elle a aidé des centaines de nécessiteux, juste pour que, pendant la dernière scène de sa vie bleue, ils disent qu’ils ne pouvaient pas l’aider.
Son cœur empoisonné, son corps fatigué, ses cheveux dorés qui tombent—tout disparu.
Et pourtant, je la cherche.

– Andreea-Denisa Taranu, Year 12

Jouant ses gammes

Initialement, ses gammes sont ternes, plates; ses doigts, raides et rigides. Bien qu’elle lutte pour les contrôler, ils accomplissent leurs mutineries mesquines. Les notes ricochent sur les murs. Le métronome marche sans cesse. Après mille et un tics et encore plus d’erreurs, elle commence à se perdre dans la monotonie apaisante de frapper les touches encore et encore.

Do majeur, un collier éclatant de perles, comme le sourire qu’elle montre le monde. Fa♯ mineur, legato, tombant délicatement comme les larmes qu’elle ne versera pas. En les jouant, elle ressent un plaisir simple. Une gamme, au moins, est facile à fixer.

– Annabelle Lavin, Year 12

FRENCH FLASH FICTION 2025: THE HIGHLY COMMENDED ENTRIES (Y10-11)

Following the publication of the winning and runner up entries, we are excited to present the highly commended entries for the Year 10-11 category of this year’s French Flash Fiction competition!

A huge well done to all of our highly commended entrants!

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Le Bateau en Papier

Il plie le papier, pressant chaque pli du bout des doigts. Un petit bateau. Léger comme l’air. Au bord de la rivière, il le lâche. Le regardant danser sur l’eau. Glisser. Tourner. Libre.

Mais les nuages ​​s’amoncelent et la première goutte de pluie tombe. Puis une autre. Le bateau vacille. Lentement, il s’adoucit, puis se dissout dans la rivière et disparaît.

Le garçon reste immobile. Il ne pleure pas. Il n’est pas parti, il est devenu autre chose. Il ne flotte plus, il coule.

La rivière continue d’avancer, et lui aussi.

– Maryam Zulqarnain, Year 10

Le premier rendez-vous

J’entends les cris. Les montagnes russes semblent trembler…

Mon ventre danse. Ma magnifique copine me parle, mais je n’entends rien. Je lui avais dit que je n’avais peur de rien mais, maintenant que nous sommes ici, je pense que notre premier rendez-vous aurait dû être au cinéma. 

Enfin, notre tour arrive. J’entre dans le train. Mon cœur s’emballe. Le forain m’attache tandis que ma prétendante rigole. Le wagon cahote (est-ce normal ?) et la lente montée commence. Après une longue pause au sommet, le train s’élance à grande vitesse.

Mon estomac se serre et ma bouche s’ouvre… 

– Will Eyre, Year 11

Tourner…

Je me suis retourné et je l’ai vue pour la première fois: Elle m’a fait tourner la tête et mon cœur n’a fait qu’un bond. Je me suis tourné les pouces un moment sauf qu’ elle m’a tourné le dos. Alors, j’ai tourné autour du pot et j’ai même tourné en rond. Rien à faire. Elle me faisait vraiment tourner en bourrique. Alors, j’ai tourné ma langue sept fois dans ma bouche mais comme ça tournait au vinaigre- avant que la situation ne tourne à la catastrophe- j’ai tourné la page. En bref, ça a tourné au fiasco!

– Todd Graham, Year 10

La couronne flétrie
J’étais autrefois une couronne.
Non pas d’or, mais de laurier, placé sur la tête des vainqueurs.
Les hommes ont saigné pour moi, couru pour moi, tué pour moi.
J’étais la preuve de la grandeur, le poids des dieux reposant sur des fronts mortels.
Mais le temps est impitoyable.
Maintenant, je suis fragile, je m’écroule dans la poussière d’arènes oubliées.
Mes feuilles, autrefois embrassées par la gloire, ne sont plus que des murmures secs dans le vent.
Pourtant, quand les pieds battent la terre, quand les cœurs s’emballent d’ambition, je m’agite.
Car la victoire ne meurt jamais. Et moi non plus

– Zara Amjad, Year 10

Les étoiles ne meurent jamais

Grand-mère disait que les étoiles étaient des âmes qui veillent sur nous.

« Regarde, mon enfant, elles brillent toujours, même quand on ne les voit pas.»

Ce soir, le ciel est vide. L’obscurité pèse sur moi. Grand-mère n’est plus là.

Je ferme les yeux.

Sa voix danse dans le vent. Son rire vibre dans les feuilles. Son parfum flotte dans l’air.

J’ouvre les yeux.

Une étoile scintille, solitaire, éclatante.

Je souris.

Les étoiles ne meurent jamais.

– Faith Obum-Uchendu, Year 11

Il était une fois

où les filles vêtues de rouge fuyaient les loups affamés de torture et d’exploitation

où Hansel et Gretel cherchaient désespérément des miettes de pain mais ne trouvèrent que la faim.

où la malédiction de la Belle au bois dormant devait être tranchée par un couteau.

où la Belle au bois dormant s’est endormie délibérément

où la beauté est tombée amoureuse d’une bête abusive

où HumptyDumpty est tombé comme une bombe pour que personne ne puisse reconstruire ce qui était autrefois si fort

où Cendrillon attend sa marraine la fée

Voici notre fin heureuse pour aujourd’hui.

– Elizabella Macleay-Wood, Year 10

Le festin du temps

Le temps est une table infinie, ornée d’heures d’argent, de jours de porcelaine et d’années de verre. Les jeunes se gorgent sans retenue. Ils arrivent affamés, dévorant les instants sans les goûter, avalant la jeunesse comme un vin, sans jamais craindre l’assiette vide.

Les vieux, par contre, mangent plus lentement, plus conscients de la cruelle limite du temps. Ils savourent chaque bouchée.

Finalement, nos appétits cesseront, nos mains s’immobiliseront, nos assiettes deviendront vides. Mais la table reste, attendant ses prochains convives, qui dîneront comme si le repas ne finirait jamais.

Comme si le festin du temps pardonnerait leur faim égoïste.

– Florence Datta, Year 11

Le passage de temps

Depuis plus d’un siècle, la Tour Eiffel regardait le monde filer. Des amoureux gravaient leurs noms sur les bancs, puis disparaissaient avec le vent. Des enfants riaient sous son cadre de fer, puis grandissaient et ne revenaient jamais. La Tour tendait ses bras d’acier pour retenir un instant, mais le temps était un fleuve—inévitable, indifférent. Les saisons valsaient autour d’elle, les ombres s’allongeaient et rétrécissaient, mais rien ne durait. Elle aurait voulu murmurer, Ralentissez… restez un peu. Mais le temps n’écoutait jamais. Alors, la Tour restait, témoin silencieux des vies éphémères, tandis que le monde avançait.

– Izzy Anderson, Year 10

Dans un petit village, un chat venait chaque soir au coucher du solil et s’asseyait près l’une église. Les gens disaient quil gardait un trésor. Un jour un enfant a suivi le chat, Le chat est entré dans l’église et disparu. Le lendemain. on a trouvé l’enfant devant l’église, avec une petite pièce d’or dans sa main. Personne ne savait d’où elle venait , et le chat ne revient jamais. Maintenant adue, l’enfant va encore à l’église et laisse des pièces, espérant pour la revoir du chat.

– Aayushi Dhelaria, Year 11

Le vieil homme soupire sous son propre poids. Arthur s’assoit, comme hier, comme toujours, regardant le monde avancer sans elle. Le vent porte des échos de son rire, effleurant son visage d’un souffle parfumé de lavande. Ses mains tremblent, cherchant l’ombre d’une étreinte disparue. ” Bientôt, mon amour…” murmure-t-il.

Le jour s’éteint. Les réverbères vacillent. Il ferme les yeux, juste un instant. Puis, une caresse, une main sur la sienne. Douce, familière. Son cœur s’emballe. Il ouvre les yeux… mais le banc est vide. Seul le vent danse, seul le silence répond. Seul reste l’écho d’un amour éternel.

– Antoinette Aluge, Year 10

FRENCH FLASH FICTION 2025: THE HIGHLY COMMENDED ENTRIES (Y7-9)

Following the publication of the winning and runner up entries, we are excited to present the highly commended entries for the Year 7-9 category of this year’s French Flash Fiction competition!

A huge well done to all of our highly commended entrants!

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Mon grand-père n’a jamais été un homme patient. Correspondant de guerre, il a passé sa vie dans les régions les plus dangereuses du monde, armé d’un stylo et d’un bloc-notes. Il aimait les mots et m’a appris leur pouvoir. À 67 ans, on lui a diagnostiqué un cancer de l’œsophage, d’un cancer du poumon en phase terminale. Alors que les traitements faisaient leurs ravages, il semblait habiter un corps dont la peau n’était plus à sa taille tandis que ses yeux noirs et flamboyants s’assombrissaient sous l’épuisement. Tout au long de cette épreuve, c’était l’écriture qui nourrissait son corps exténué. Son message à tous était de continuer à écrire.

– Tabitha Bridgeman, Year 9

Le Désir Brûlant de Pouvoir

Les flammes dansent désespérément: implorant la liberté. Tentatives de persuader que s’ils étaient libérés de leurs contraintes, les vrilles fumantes jeteront des étincelles avec une intensité inimaginable, prêtes à servir et à obéir. Les mortels aiment bien se chauffer le dos. Les chefs les exploitent pour que la quintessence du carnage fonctionne pour eux. Que pourrait on faire avec un tel pouvoir? Transformation, réformation, une métamorphose. La capacité de créer un nouveau royaume, un empire, celui que même le Diable serait fier d’appeler le sien. Hélas, je ne suis qu’un simple enfant, regardant pensivement dans les profondeurs du feu.

– Sarwin Shangar, Year 9

Des éclats de métal volent dans l’air, les cris des passagers ricochent dans la cabine pressurisée. La roue tourne inutilement là où elle est montée sur le tableau de commande, les lumières aveuglant mes yeux. Chaque flash est un rappel rythmé de notre descente. Rapidement. Je maudissais tous les pilotes qui m’avaient formé, pour ne pas m’avoir mieux préparé à un accident. Alors que nous nous rapprochons dangereusement de la Tour Eiffel, je me mets à réfléchir aux règles de sécurité pour essayer de nous sauver. Mais ce ne sera pas suffisant. Je l’admire avant que tout… ne devienne… noir.

– Ellie Malloch, Year 9

Le chêne

Le printemps. Les feuilles sortent des bourgeons verts. L’arbre se reveille après un sommeil long.

L’été. Le soleil sourit avec amore au le chêne. Les enfants rirent et jouent sous la canopée ombragée.

L’automne. Les feuilles sont peintes on or. Ils tombent par terre. Les glands sont disperses par une terre brune. Un écureuil sautes sur les branches, pépiement joyeusement.

L’hiver. Le soir, un hibou s’assoit sur le creux de l’arbre. Le chêne bras nus se balance sur le vent calme. Le clair de lune est plus blanc que le lait. Le chêne se prépare pour l’année prochaine.

– Jemima James, Year 9

Le vieux piano

Le vieux piano de la maison abandonnée portait encore sa mélodie. Clara en chassa la poussière, hésitante, tandis que la lumière dorée filtrait à travers les fenêtres brisées.

Elle appuya sur une touche. Puis une autre. Une mélodie s’éleva—douce, mélancolique, familière. La chanson de son père.

Les larmes lui montèrent aux yeux. Il la jouait autrefois, avant que la maladie ne l’emporte. Elle ne se souvenait presque plus de sa voix, mais la musique était restée.

Alors que la dernière note s’épanouissait, une brise murmura :

“Magnifique, ma chérie.”

Clara sourit. Elle n’était jamais seule.

– Prem Patel, Year 9

Les arbres s’effondrent. Ma maison, mon refuge, se brise. Les géants où je jouais sont réduits à néant. L’air sent la mort et la destruction. Je serre une branche, ma dernière connexion avec la canopée.

Les humains reviennent, leurs machines grondant plus violemment. Je fuis, mais il n’y a nulle part où aller. Le sol est stérile. Ma famille a disparu. La forêt est silencieuse. Je suis seul, perdu dans une terre qui ne m’appartient plus.                               

– Dhilan Thanki, Year 9

Au revoir, Papi:

La tristesse m’envahit, la douleur me déchire le cœur et mon âme fond
comme une bougie éteinte par un vent violent. Dans les rues de mon cœur, ce vent engloutit tout pour laisser place au désespoir. Il crée un vide. Un vide dépourvu de joie et d’amour . Un vide encombré de pensées obscures, ressemblant à une nuit sans étoiles. Dans ce vide affreux, mon âme se perd, engloutie par la mélancolie. Pourtant, une lueur essaye péniblement d’éclairer ce trou. C’est Espoir. Une autre lumière s’allume alors. Souvenirs. Unies, elles repoussent la tristesse. Ensemble, elles disent au revoir.

– Laonie Caron, Year 9

À Petit Pas

Il était une fois un escargot nommé Léo qui voulait devenir chef cuisinier. Un jour, il a trouvé une recette pour un plat rapide. Léo a dit, “Parfait, je vais fini en un rien de temps !” Mais un voisin, une fourmi, a répondu, “Toi ? Rapide ? Quel escargot est rapide ?” “Eh bien, je vais à mon propre rythme, mais je ne suis jamais en retard dans ma coquille !” Leo a dit. Finalement, Léo a ouvert son restaurant appelé “À Petit Pas” et est devenu célèbre pour ses repas… lents mais délicieux !

– Silvia Herratt, Year 9

Paix.

Il était une fois un monde en parfaite harmonie, où quatre nations
prospéraient sous la bénédiction de leur monarque céleste : les tribus du feu, le royaume de l’eau, les temples de l’air et l’empire de la terre. Grâce à leurs pouvoirs uniques, ils ont créé des innovations technologiques inimaginables. Pendant des siècles, la paix a régné… jusqu’à l’arrivée du Maître des Ombres. Son assaut brutal plongea le monde dans le chaos, brisant des civilisations entières. Mais même au milieu de la destruction, un souvenir demeure, une phrase qui résonne à travers les âges : le véritable pouvoir réside dans la coexistence.

– Eva Graciova, Year 8

FRENCH FLASH FICTION 2025: THE RUNNERS UP

We are delighted to publish the runner up entries for this year’s French Flash Fiction competition! We’ll be publishing the runner up entries for Spanish, as well as the highly commended entries for both languages in each age category over the coming weeks.

Years 7-9 runners up

Arc et Triomphe

Sous l’énorme paysage de Paris habitent beaucoup de gentils trolls. Ils savent que le soleil est mauvais pour les trolls. Ils ne peuvent sortir que la nuit.

Il y a deux trolls qui sont frères. Ils s’appellent Arc et Triomphe. Ils écoutent un crie. Ils quittent la cave pour aider. Il y a une personne qui est blessée. C’est le matin et les trolls se réalisent leur erreur. Ils ont peur et se lèvent les bras et se tiennent la main.

Leurs têtes fondent et leurs corps se transforment en pierre. Ici se trouve l’Arc de Triomphe.

– Christian Thomas, Year 7

“courir comme une fille”

Mes poumons brûlent et je sanglote à chaque respiration haletante. À chaque pas, mes pieds me brûlent davantage. J’ai envie de m’arrêter, d’abandonner et d’accepter mon destin, mais je ne peux pas encore laisser la douce étreinte de la mort me priver d’adrénaline. Mes jambes me font mal et je trébuche tandis que le vent violent me fouette les cheveux. Le bruit de ses pas lourds derrière moi est ma seule motivation. J’ai envie de crier, mais je n’y arrive pas, seule la terreur me fait avancer. Voilà ce que signifie courir “comme une fille”.

– Poppy Simblet, Year 9

Years 10-11 runners up

L’Envol

Je suis né dans l’ombre, brisé, une
poussière sous les pieds des autres.
Ignoré, piétiné, anéanti. Puis un jour, le
vent m’a arraché. J’ai fendu l’air comme
une lame, frôlé les cimes, défi é les
tempêtes. Le monde, gigantesque et
sauvage, battait sous moi—un océan
d’énergie brute. Les tempêtes ont voulu
me briser, mais j’ai tourbillonné, libre et
indomptable. Plus haut. Plus loin. Les
doigts d’un enfant me frôlent,
tremblants. Il me regarde, souffle coupé,
comme si j’étais un miracle tombé du
ciel. Un souffle. Je disparais, m’élançant
vers l’inconnu. Je ne suis qu’une plume,
mais je défi e le ciel.

– Benedict Onalo, Year 11

C’est quoi un monstre?

Un monstre, c’est une chose
qui ravage les hameaux, les villages, les villes
qui incendie des forêts, massacre les humains, les animaux,
qui dévore sans cesse, crachant des nuages de fumée noire
qui couvrent les horizons,
qui infecte nos sources, nos ruisseaux, nos rivières, nos océans.

Un monstre, c’est une chose
qui tourne en rond, en ne pensant qu’à eux-mêmes dans un monde impitoyable,
qui ne sapitoie que sur eux-mêmes.

Un monstre, c’est une chose qui gãche, qui pollve, qui vide les ressources, qui creuse, avi construit, qui detruit,
dans un cerole perpétuel.

Les monstres,
c’est nous.

– Arthur Mourot, Year 10

Years 12-13 runners up


Le vieux piano est encore intact, ses touches d’ivoire ternies par la poussière. Elle les parcourt, se rappelant comment les doigts de sa mère y dansaient, remplissant les après-midi de Chopin et de rires. La maison, autrefois vibrante de musique et de chaleur, semble caverneuse, ses échos rappelant l’absence plutôt que la présence. Elle a appuyer sur une touche, mais la note a vacillé, fragile et incomplète. Le chagrin gonfle dans sa gorge. Elle s’est rendue compte que certaines choses ne peuvent pas être jouées deux fois de la même manière. Certaines mélodies se terminent avant que nous soyons prêts.

– Nini Ren, Year 12

Qu’ils boivent du thé!

«Monsieur le Premier ministre, est-il vrai que votre gouvernement a dépensé cinq millions de livres en biscuits l’année dernière?»

Silence.

La majorité des questions de ce soir concernaient les sujets habituels: l’inflation, le chômage… Ces questions n’étaient pas des plus agréables, mais la paperasserie a été utile. Ils n’auraient pas pu connaître cet accord! L’économie dépendante du thé est chancelante. Les gens pouvaient à peine rassembler une pitance, mais l’accord est suffisant pour servir des scones pour toute la nation.

«La démocratie repose sur le thé, et le thé nécessite des biscuits». Il soulève sa tasse à thé lentement

– Ka Kin Andreas Lam, Year 12

Félicitations tout le monde!

FRENCH FLASH FICTION 2025: THE WINNERS

We are delighted to publish the winning entries for this year’s French Flash Fiction competition. We’ll be publishing the winning entries for Spanish, as well as the runners up and the highly commended entries for both languages in each age category over the coming weeks.

Thank you and huge congratulations to everyone who entered! The French judging panel were extremely impressed with all the entries we received this year (over 847 of them!), and commented the following about the competition:

Thank you all for another year of delightful and intriguing stories. In just a hundred words, you impressed us with pieces about family love, mischievous cats, talking music boxes, aeroplane fiascos, mysterious mirrors, alien invasions, snail restauranteurs, and doner kebabs. We particularly enjoyed the creative range of literary styles: verse poetry and prose, theatre and slang, riddles and tongue-twisters. Congratulations to all of you for your courage in experimenting with language in such fascinating ways.

Without further ado, here are the winning stories! We hope you enjoy reading them as much as the judges did.

Years 7-9 winner

Photo by Javier Miranda on Unsplash

La berceuse d’une libellule
J’ai vu
Les dinosaures apparaître et disparaître,
Le continent de Pangée se diviser en sept morceaux,
Le roi être né,
Les sorcières brûlées,
Versailles en silence,
L’archiduc assassiné,
Des alliances formées
Et brisées,
La Pologne envahie,
Des innocents morts,
Des livres détruits,
A huit heures le port-aux- perles en décombre.
La bombe,
Une nouvelle guerre.
La terre se réchauffe.
Une libellule presque invisible se repose par terre,
Sa petite tête baissée,
Ses ailes cassées,
Elle ne voit plus.

– Alexandra Davies, Year 9

Years 10-11 winner

Photo by Jacqueline Munguía on Unsplash

Une énigme pour vous…
Je brise la glace sans un bruit;
Une étoile filante au milieu de la nuit.
J’éclaire la journée,
Mais je ne suis pas le soleil.
Je travaille le mieux
Quand tout semble désespéré.
Je peux être en retard,
Mais jamais trop vite.
Je n’utilise pas de mots;
La langue la plus pratique.
Je me cache parmi les étrangers,
Mais je suis seulement en train de reposer,
Un diamant brut,
Beau une fois révélé.
Le reflet d’un coeur heureux,
Je ne veux jamais dire adieu.
Qu’est-ce que je suis?
Un vrai sourire.

– Ayami Ginneliya, Year 10

Years 12-13 winner

Les Mots Qu’on Traduit Pas
Un mur contient chaque mot; l’encre coule. Si l’on pose le doigt, n’importe quel mot peut être tracé ; les autres restent invisibles.
Je suis assis, observant la mer anglaise. Juste la semaine dernière, j’étais à Pont Neuf, me sentant un peu frileux.
Il semble que j’aie l’air troublé. Ma tante, locale, m’introduit à Falmouth, puis sourit bienveillamment. “You’ll adapt,” dit-elle.
Sur le sable, elle écrit « peace ». Moi, je trace dépaysement.
Les vagues effacent nos mots, mais la rémanence demeure. Et c’est très bien comme ça. Au-delà des actualités et banalités, il existe un calme dans les mots qu’on traduit pas.

– Sela Keliane Diasivi, Year 12

Félicitations à tous nos gagnants!

2025 Flash Fiction Competition Results

In December 2024, we launched our annual Flash Fiction competitions, which closed at the end of March. The competitions were open to students in Years 7 to 13, who were tasked with writing a short story of no more than 100 words in French and/or Spanish.

We had an incredible response, with entries coming in from all areas across the country! In total, we received over 1200 submissions across the two languages!

We would like to thank everyone who entered the competition and commend you all for your hard work and creativity in writing a piece of fiction in a different language. This is a challenging exercise, and a significant achievement – congratulations all!

We are delighted to be able to announce the winners, runners up, and highly commended entries for each language below. We will be publishing the stories over the summer so you can read them for yourselves.

French

In the Years 7-9 category, the winner is Alexandra Davies. The runners-up are Christian Thomas and Poppy Simblet.

The judges also identified the following entrants as highly commended: Tabitha Bridgeman, Sarwin Shangar, Ellie Malloch, Jemima James, Prem Patel, Dhilan Thanki, Laonie Caron, Silvia Herratt, and Eva Gracovia.

In the Years 10-11 category, the winner is Ayami Ginneliya. The runners-up are Benedict Onalo and Arthur Mourot.

The judges also identified the following entrants as highly commended: Maryam Zulqarnain, Will Eyre, Todd Graham, Zara Amjad, Faith Obum-Uchendu, Elizabella Macleay-Wood, Florence Datta, Izzy Anderson, Aayushi Dhelaria, and Antoinette Aluge.

In the Years 12-13 category, the winner is Sela Keliane Diasivi. The runner-ups are Nini Ren and Ka Kin Andreas Lam.

The judges also identified the following entrants as highly commended: Sofia McAllister, Dominica Kay-Shuttleworth, Eddie Henderson, Eva Saunders, Preona Mohan, Gia Namoa, Luke Roberts, Amelia Richardson, Andreea Denisa Taranu, and Annabelle Lavin.

The French judging panel were very impressed with this year’s submitted stories, and commented the following about all the entries:

Thank you all for another year of delightful and intriguing stories. In just a hundred words, you impressed us with pieces about family love, mischievous cats, talking music boxes, aeroplane fiascos, mysterious mirrors, alien invasions, snail restauranteurs, and doner kebabs. We particularly enjoyed the creative range of literary styles: verse poetry and prose, theatre and slang, riddles and tongue-twisters. Congratulations to all of you for your courage in experimenting with language in such fascinating ways.

Spanish

In the Years 7-9 category, the winner is Grace Fulcher. The runner up is Willa Stevenson.

The judges also identified the following entrants as highly commended: Qaya Anand, Benjamin Brown, Maria Temowo, Sai Sudharshana Sathish Kumar, Ella Gabso, Momore Sina-Atanda, Kimora Newby, Chloe Crowther, Jasparan Leeson-Kings, and Zaynah Arshad.

In the Years 10-11 category, the winner is Anonymous. The runners-up are Jaami Sheikh and Jaya Sharma Patel.

The judges also identified the following entrants as highly commended: Cecilia Linden, Anonymous, Anonymous, Tulaxsaa Sutharsan, Ilana Bartlette, Kashvi Maharshi, Isabel Marchi-Abatti, Jasmine Dix, Madeline Sandford, and Lalith Surapaneni.

In the Years 12-13 category, the winner is Gabriel Dada. The runners-up are Lydia Furniss and Ohemaa Ofosua Bruce Oppong-Agyare.

The judges also identified the following entrants as highly commended: Heloise Morel, Mahi Sainani, Melissa Muthama, Monica Singh, Thea Spackman, Yuet Ching Gabrielle Kam, Samiah Iqbal Kausar, Luke Roberts, Gagani Katugampala, and Amelie Pugsley.

The Spanish judging panel were very impressed with this year’s submitted stories, and commented the following about all the entries:

We greatly enjoyed reading all of this year’s entries and, as always, were impressed with the level of creativity and inventiveness. We particularly liked the stories that were playful with their perspectives and structure, which we could see had come from moments of personal thought and showcased different opinions and ways of seeing. It was wonderful to see a good command of Spanish throughout, as well as an ability to manipulate the language imaginatively.

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Huge congratulations everyone – you should be very proud of your achievement!

GCHQ Language Outreach virtual sessions!

GCHQ are excited to invite teachers and their Year 8 & 9 students to participate in their upcoming GCHQ Language Outreach virtual sessions! 

Our program aims to inspire and encourage students to explore new languages or advance their existing skills.

Session Overview:

  1. Introduction to work at GCHQ

Discover the mission behind GCHQ and how languages play a significant part in our work.

  1. Taster sessions

Engage in interactive sessions for Spanish, German and French, designed to provide students with a glimpse into each language and its culture.

We believe that exposing students to different languages can spark interest and motivate them to pursue language studies further.  Please follow the guidance below if you feel this maybe of benefit to you and your students.

RSVP:

To confirm your participation, please fill out this Microsoft Form.

We understand that some school computer network policies may not allow access to hyperlinks so if you do encounter any issues, or would rather reply directly, please feel free to email Gordon54585@gchq.gov.uk with your attendance confirmation, choice of date and language.  The slide above provides a brief breakdown of the session but we are happy to respond to any questions you may have or give more details.

Virtual session dates & times:

Friday 6th June 2025, 11.30-12.30: French, Spanish, German

Wednesday 25th June 2025, 10.30-11.30: French, Spanish, German

Tuesday 15th July 2025, 13.30-14.30: French, Spanish, German

First year French Sole student’s experience of Oxford University

On the blog this week, current French Sole student, Livleen, reflects on her first year here at Oxford and shares what the course entails.

Me (on the right) and my friend Amber on matriculation

Heya, I’m Livleen! I’m in my second year doing French at St Catherine’s College, and I’ve absolutely loved my time here so far at Oxford. It’s such a beautiful place to live in, me and my friends often describe living here as a ‘fever-dream’: when you come home between term time it feels like you’ve been living in a fantasy! However, that’s not to say that my first year was a breeze, I was challenged not only academically, but socially too. Oxford is an amazing place to study because it really makes you filter out the things you genuinely enjoy doing, making you prioritise what is truly important, and become quicker at completing tasks in general.

In terms of my academic experience, I must say that I improved so much from when I first set foot in my seminar room back in October. The French course here at Oxford is very literature heavy, so bear that in mind if you’re considering applying here. Here are some details on what the French and French sole course is like:

For core French modules (this is what everyone does in first year French, regardless of what subject combinations you do), you have around 2 lectures a week on the text you are studying. In Michaelmas term (first term), the first couple of weeks are introductory, where you’ll have lectures on how to approach literature, and how to write essays and commentaries.  And then you’ll study 3 commentary texts: Montaigne: ‘Des Cannibales’, Racine: ‘Phedre’ and Verlaine: ‘Romances Sans Paroles’. In Hilary (second term), you study your last commentary text ‘Papa Doit Manger’ by Marie Ndiaye, and then you move onto your essay texts: ‘Le Chastelaine de Vergy’, ‘Les Liaisons Dangereuses’, ‘Indiana’, and then you study ‘Traversée de la Mangrove’ in the beginning of Trinity term (third term). Also, as part of French core, you have weekly grammar, translation and speaking classes. You have grammar classes and translation classes around twice a week, and speaking every other week. However, this varies depending on your college.

In terms of the French Sole modules, the sole papers are Film, French Thought (Philosophy) and Literary theory. You’ll study four texts/films for each paper and attend a seminar and write an essay (or commentary) on each in English. For our year, we studied all the films in Michaelmas, Philosophy in the second half of Michaelmas and first half Hilary and then critical theory in the last half of Hilary and first half of Trinity. The films that we watched were: Pierrot le Fou, À Nos Amours, Beau Travail and Portrait de la jeune fille en feu. The philosophy texts were: Descartes: Discours de la méthode, Rousseau: Discours sur l’origine de l’inégalité, Beauvoir: Le Deuxième Sexe, and Césaire: Discours sur le colonialisme, suivi de Discours sur la Négritude. The critical theory authors you study are: Paul Valéry: ‘Questions de poésie’ and ‘Poésie et pensée abstraite, Sartre: Qu’est-ce que la littérature?, Barthes: Critique et vérité  and Hélène Cixous: ‘Le rire de la Méduse’. Overall, I would say that although I struggled with the Sole modules, I’m so glad that we studied them because I feel so much more informed about French literature and culture, which others doing joint honours will not have in their first year. There is also the myth that those who do French Sole means that you do less work as opposed to someone who does a joint honours, and I would say this is completely untrue. Whilst you are not doing additional language work for another language, you’ll be wrapping your head around complex philosophical concepts and getting your grips around abstract ideas in critical theory.

There is also the myth that at Oxford, you spend every day in the library, and will have no time for fun. This is also completely untrue. This year, I was playing in 2 orchestras a week, attended weekly dance classes, spent many nights hanging out with friends in the JCR (the college social area for undergraduates), went clubbing from time to time, took part in uni-wide society events and many more. Although you do spend a lot of time here studying (which is normal with every university student), I would say that the life here only gets intense because of all the social opportunities Oxford has to offer that you want to cram into your schedule haha.

Me and my friends at a cartoon themed entz* 🙂
*college-organised social event

In terms of how I’ve found my college experience, I’ve absolutely loved being at St Catherine’s College (or more affectionately, ‘Catz’). Although we had troubles with the RAAC, it made our community come together, and the friends I’ve made has made my first year so worth it.

Me and my friend Amara at a South Asian ball!!

One thing I’d like to mention is writing a bit about my experience being an ethnic minority here at Oxford, having come from a predominantly South Asian community in London. What surprised me was that coming to Oxford brought me closer to my culture because I attended many India Society events and becoming ethnic minority rep at my college. So, I would say that there is a way to stay / become connected to your roots even if the stereotypes suggest the opposite.

Lastly, for those who are thinking of applying to Oxford, and considering applying to do French, I would recommend that you give it a go, especially if you have an interest in literature. For me, getting into Oxford was as stab in the dark and the process seemed very daunting, but it all it worked out! And no matter how far you get in the process, the application experience is so valuable. Wherever you end up, things will always work out for the best, and you’ll no doubt have the best years of your life 🙂

– Livleen

If you want to see a taster of a week in the life of a French Sole student, I’ve filmed a video which you can watch below:

‘Try Before You Buy’ Days!

Balliol College is running a series of free ‘Try Before You Buy’ Days over the course of May and June 2025.

These are an opportunity to experience a taste of Oxford undergraduate teaching, with participants taking part in a tutorial having completed and submitted work prior to the event. Students will also take part in an admissions session and college tour with undergraduates. A free lunch will also be provided in the Balliol Dining Hall.

Balliol College, Oxford

The Days are aimed towards prospective applicants of a variety of subjects, but in terms of languages, are open to Year 12 students hoping to apply for degrees with French (starting in 2026). Under-represented groups will be prioritised for this event.

These events are in great demand so applicants must ensure that they are able to attend and can complete the work and return it by the deadline which is usually a week before the event.

More information about the days can be found here and students can register for the sessions at the links below:  

Modern Languages Summer School

Applications are now open for Wadham College‘s annual five-day Modern Languages Summer School. The residential will take place at the college, based in the centre of Oxford, from 18th to 22nd August 2025.

Summer schools are designed to give UK pupils studying in Year 12 a taste of what it’s like to be an undergraduate studying at the University of Oxford.  Pupils will take part in an academic programme, live in College, meet student ambassadors studying at Oxford, and receive information, advice and guidance on applying to university. Wadham’s Summer Schools are free and the college will provide financial support to pupils to cover their travel costs.

Wadham are delighted to be able to run these events in-person allowing participants the best experience of life at the university.  The feedback from last year’s Summer Schools was hugely positive with over a third of participants subsequently securing offers to study at the university.

“After the summer school I am much more confident that I would fit in at Oxford and feel like I am more ready to move away from home”

– Summer School participant, 2022

For Modern Languages more specifically, pupils will engage in a seminar series led by Wadham’s language tutors, including language classes in their selected language of study (French, German or Spanish) with opportunities to try other languages as beginners (including German, Portuguese and Russian). Students will complete an assignment on a main topic with feedback from tutors. Pupils will also be able to receive support from current undergraduates and from the College on making successful applications to top universities.   

A Summer School French class

For more information and to apply, click here: Wadham College Summer Schools. Pupils should be studying French, German or Spanish at A-level or equivalent to apply. Applications close on 5th May.

If you have any queries, please contact access@wadham.ox.ac.uk