French Flash Fiction: Highly Commended Years 7-11

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We’ve seen the highly commended Fernch stories from the sixth formers so let’s see what the younger students had to offer. Here are some of the highly commended entries from the students in Years 7-11…

La voix de langue

Bonjour ! Ça va ? Ces phrases pourraient être dites de différentes manières. Mes petits symboles qui aident à former de structures, qui forment une chaîne de dialogue qui sort de la bouche des gens, ou n’importe où ailleurs. Si je n’ai jamais existé, comment auriez-vous dit à quelqu’un que vous les aimiez, fait rire quelqu’un ou même communiqué du tout? Vous voyez donc? J’existe sous plusieurs formes. Je tiens les portes de communication. Mes mots détiennent les clés de toutes les émotions. Rappelez-vous donc toujours. Les mots peuvent inspirer, les mots peuvent détruire. Alors, s’il vous plait choisissez-les judicieusement.

(Davina Balakumar, Year 9)

La Neige

Elle examinait le livre poussiéreux. “La neige” la chose blanche s’appellait. Elle apparaissait chaque hiver. Toujours l’hiver l’avait embrouillé. Les saisons avec les temps différents, les temperatures différentes, elles étaient étranges. Sa mère pourrait se souvenir de, avec doute, la neige quand elle était jeune. Mais maintenant la neige était une relique du passé. Elle était dans les films âgés, décrivée d’avoir froid, d’être fraiche. Mais tous ces “hivers” étaient le même: chaud et sec. De l’eau, comme d’habitude, était chaud et rare. Elle ne devenait jamais les cristals. Elle n’avait pas besoin de les devenir. Elle était déjà précieuse.

(Georgia Clarke, Year 10)

Ma vie

J’habitais dans un monde de verre – je mangerais et je dormais. Ma vie était une existence morne et j’ai désiré la liberté et la passion! Tous les jours, j’ai essayé de m’échapper. J’ai sauté plus haut qu’une gazelle et j’ai fouillé pour une sortie avec plus de détermination qu’un inspecteur. Mais puis, un jour, mon monde a basculé. Soudainement, je ne pouvais pas respirer! Je tombais pour un long moment, avant d’atterrir dans la toilette.
Maintenant, je sais que la liberté n’est pas ce que j’attendais. Moi, un poisson rouge, devrait être plus prudent que je souhaite!

(Isaac Timms, Year 9)

La nostalgie fanée

Ah, les plaisirs simples de la jeunesse. Une rose poussiéreuse, douce et rouge. Yeux verts au milieu de la nuit et l’odeur familière du vin aigre. Le rire des danses qui étaient toujours des erreurs. Le rire résonne encore à mes oreilles des années plus tard.
Ces souvenirs sont des morceaux d’une époque à laquelle je ne pourrai jamais revenir, une ère de nostalgie douce-amère.
“Ah, Maman.” soupire la femme devant moi. “Pourquoi tu ne te souviens pas de moi?”
Bien que je me souvienne de son visage, je ne sais pas toujours qui elle est.
Le rire résonne encore.

(Jamilya Bertram, Year 11)

Mon grand-père né au milieu de 1919 était destiné à combattre dans la Seconde Guerre mondiale. c’était une nuit fraîche éclairée seulement par la lueur orange du soleil couchant, nous nous sommes précipités vers la maison de grand-père alors que son hangar de dix ans a brûlé jusqu’au sol. Un couple de pompiers nous a laissés tout près alors qu’ils se précipitaient pour pomper l’eau du ruisseau à 800 mètres.
Nous avons regardé le hangar monter en flammes, ce qui a réveillé de bons souvenirs.
La vraie tristesse est venue lorsque mon grand-père âgé, qui nʼétait pas sorti du lit, a tranquillement demandé si les photos de son régiment étaient en sécurité.

(Joanna Kazantzidi, Year 7)

Dans la bibliothèque, il y a des lumières. Les lumières qui volent comme les étoiles dans le ciel de minuit. Mais cette beauté est dangereuse. On peut s’oublier.
Et si on va plus loin dans la bibliothèque, ce que on trouve sont des armes de milliers. Elles sont les choses les plus dangereuses et puissantes dans le monde entier.
Chaque soldat l’a construit en utilisant les mêmes vingt-six lettres. Chaque arme est différente.
Toutes sont complètement différentes à cause de l’émotion. La tristesse. La joie. La colère. La peur.
Ça, c’est la vrai magique.

(Katy Marsh, Year 11)

Auto-Isolement

Je jette et tourne depuis heures quand j’ai décidé que je me lèverais. J’étais chaud, donc j’ai ouvert la fenêtre. Soudain, j’ai entendu un bruit. Il me semblait qu’il m’appelait. Impossible ! Néanmoins, je suis sortie de ma fenêtre, et je volais ! J’ai flotté entre les nuages et s’est envolé sur les toits. J’étais aux anges avec ma nouvelle habilité, et j’ai voulu  voir le monde. J’ai volé dessus des grandes-villes impressionnantes, et les plages la plus belles. Mais, finalement j’ai dû retourner. J’ai pensé, demain je devrai rester chez moi. Si seulement mes rêves pouvaient durer éternellement.   

(Megan Beach, Year 11)

Olympe de Gouges

Ils méprisaient mes idées, méconnaissaient mes droits et, pire encore, opprimaient mon peuple. Cependant, je me tiens ici avec une dignité sans tache, car peu de femmes ont eu l’occasion de le faire, et je vois ma tragédie comme un pas vers d’égalité; un dernier acte de défi de ma part. Je serai forte. Je vais me battre jusqu’à la fin. Bien que la lame hostile me nargue ainsi, je ne me soumettrai pas à son regard inamical. Je ne mourrai pas en vain. Les enfants de ma ville natale vengeront ma mort.

(Ruby Watts, Year 10)

Apollo Vingt

«BIP, BIP!» C’est la pagaille dans l’agence spatiale internationale. «DÉTONATION!» La fusée est lancée dans le ciel aussi vite qu’un éclair sans regrets. La fusée avance à toute vitesse, presque en orbite, Apollo vingt est plus chaude que la lave. Louis Armstrong et Sylvie Aldrin regrettent d’avoir pris ces décisions qui allaient changer leurs vies, tout en progressant de plus en plus rapidement. Louis regarde par la fenêtre épaisse et ovale et ce qu’il voit de ses yeux baignés de larmes était transcendant. Il fixe paralysé par l’horreur car sur Mars il voit un million d’yeux lui fix du regard.

(Toby Greenwood, Year 8)

Je suis une armoire qui ne sera jamais oubliée par mon utilisateur, mais qui dans le coin de cette pièce délabrée, n’aurait jamais de deuxième vie.
Ouvrez-moi et vous verrez mon passé.
Dans le premier tiroir se trouve l’enfance et le bonheur. Jetez-y un œil et les couleurs rayonnantes des vêtements vous frapperont.
Dans le second tiroir se trouve la romance et l’amour. Reniflez un peu et vous sentirez le doux parfum des fleurs.
Dans le troisième tiroir se trouve la mort. Un endroit sombre mais pourtant pas aussi effrayant à ce qu’il parait.
Pour toujours, je l’accompagnerai.

(Tom Clapham, Year 10)

La bombe. Le flash. Soudain, j’étais de retour dans la salle de classe surchauffée. J’ai ouvert les yeux lorsque la maison où j’ai été faite a été engloutie par les flammes. Je peux encore sentir sa prise chaude contre mon nouveau corps velu. Mais je suis toujours là, le rembourrage bleu squashy réconfortant mon corps rempli de cendres. La fumée emplit mes yeux et mon nez suffocant. J’habite à Londres cette ville, de puissants incendies se sont propagés dans les maisons. Je suis Winston le Teddy qui a survécu à la Seconde Guerre mondiale.

(Yuvraj Kambo. Year 9)

French Flash Fiction: Highly Commended Sixth Formers

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This week on Adventures on the Bookshelf we’re continuing to showcase some of the top entries from this year’s French flash fiction competition. Here are some of the highly commended stories from the older category. Well done to everyone!

Les Arbres

Les arbres voient beaucoup de choses que nous ne connaissons pas. Ils gardent des secrets, ils se souviennent du passé, et si on pense assez fort, ils peuvent entendre nos pensées. Avez-vous déjà pensé “Les arbres. Pourquoi sont-ils si étrange?” Si on pourrais communiquer avec eux, révélerait-ils leurs mystères?
Croyez-le ou non, je parle parfois avec les arbres. Je veux les comprendre, donc je leur pose des questions. Le matin, je m’asseoie sous l’arbre dans mon jardin- je le regarde comme un roi ou un montagne majestueux. Chaque matin je demande “À quoi vous pensez?”
J’attends encore une réponse.

(Lily Bamber, Year 12)

Ma mère et moi sommes venus en France il y a cinq mois. On est venus avec l’espoir d’une vie plus heureuse qu’au Congo où il y a la guerre. Nous restons dans une auberge miteuse et pleine d’escrocs. Il y a deux semaines que mes boucles d’oreilles en or de Maman Shungu ont été volées. J’les y laisse sur mon lit et quand je reviens elles avaient été prises sous mon oreiller. Si tu gardes ces bijoux t’aura de la chance elle m’a dit. Je pense que c’est de la superstition. Nous serons coincés ici pour toujours. C’est dommage.

(Ketsia-Patience Kasongo, Year 13)

Le ciel violet

Je le regarde, du coin du grenier. Il s’asseoit parfaitement immobile en regardant le ciel violet. Sa chaise est centrale dans la chambre, le seul meuble là-bas, et il est enveloppé par la nuit étoilée, sa concentration a souligné par le silence. Son visage est assombri par une brume violette. Bien que nous soyons à distance de toucher, nos âmes sont seules, tourmentées par leur isolement. Je ne peux plus y résister. Je me dirige vers lui, mets ma main sur son épaule et je peux sentir son frisson sous moi- il me manque, il me manque. J’aimerais être vivant.

(Emily Bell, Year 12)

En France, il y a de la liberté, de l’égalité, de la fraternité, mais il n’y a pas de mangues. Bon, elles sont là, mais elles sont séchées et ratatinées comme le sein d’une vieille. La lumière de miel de mon enfance ne peut pas traverser la frontière, alors les mangues ici boivent une lumière grise comme les eaux usées. Chez moi, le nectar d’or des mangues brille sur la peau et le goût sucré reste dans la bouche pendant des heures. La douceur de ces mangues me rendait éloquente. Ici, je n’ai pas de mots.

(Blessing Verrall, Year 12)

L’attente

L’attente est un état d’âme permanent. C’est quasiment un acte qui nous accable, tous.
Elle, (la fille) attend son bien-aimé. Elle vie dans l’anticipation aigue d’un signe de vie, d’un texto. Une attente solennelle, angoissante et même sublime. Chaque instant est en stase, pesant et pénible. Son état d’âme est aussi accablant que le néant d’une pièce blanche vide. L’attente provoque des suppositions, de telle sorte que la fille perd tout sens des proportions.
Lui (le bien-aimé) ne l’attend pas. Il ne sait pas qu’il la fait attendre. Il est absent car il l’a oublié.

(Allegra Stirling, Year 12)

Le Cadeau

Elle a regardé le reflet de la poupée. Elle a ouvert la porte et est entré dans le magazine. Elle a établi un contact visuel avec le marchand. Attrapant la poupée, elle a sprinté par la porte et dans la rue. Le commerçant a crié après elle. Elle a tourné le coin et a couru vers son amie. “Joyeux Anniversaire!” elle a chuchoté, en donnant la poupée à la petite fille. Elle a ensuite regardé la fille réveiller sa mère et ses quatre frères, tous qui dormaient sur le bord de la route. “Regardez,” dit-elle avec un immense sourire, “j’ai un cadeau.”

(Harriet Townhill, Year 12)

Il fait mauvais, comme toujours. Deux piqûres d’épingle percent les nuages comme des yeux, qui me regardent comme si je trangressais la loi. Mais non, je fais les courses ! Je m’assure que j’ai mon attestation et ma liste. Je doute que je puisse en cocher la moitié cette fois, mais il faut quand même essayer. J’ai apporté deux sacs, même si je sais que je n’en aurai besoin que d’un. D’ailleurs, j’aurais laissé les pâtes, les œufs, s’ils avaient été encore là ; je suis habituée à être altruiste. Pause terminée… aucune provision. J’entre dans l’hôpital.

(Nikita Jain, Year 13)

SPANISH LITERATURE PODCAST

Now available online is a series of podcast episodes featuring members of the Spanish sub-Faculty talking about some of the works that we teach at Oxford, produced and presented by one of our own Modern Languages graduates, Christy Callaway-Gale.

The series is aimed at people thinking about applying for Modern Languages at university, their teachers, and also the wider public. We hope to share our fascination with literature in Spanish, to explain why we love teaching it, and why we think you might love it too.

Each episode features a different member of the Spanish sub-Faculty talking about a work of literature from their area of expertise. The format is quite informal, more a relaxed interview than a lecture. As studying Spanish at Oxford involves looking at literary texts in a lot of detail, each podcast episode also includes a segment where tutors perform a close reading of the text (or extract of the text) they’ve been speaking about. We hope this will de-mystify the literature we teach on the course and, if you’re interested in applying for Modern Languages at university, that it will give you a sense of what it might be like to study Spanish at Oxford.

In the first four episodes, we travel from the medieval period to the twentieth-century. Geraldine Hazbun talks about the beautiful and moving poem, Coplas por la muerte de su padre by Jorge Manrique. Oliver Noble Wood introduces listeners to a classic of early-modern picaresque fiction, Lazarillo de Tormes. Moving to Latin America, María del Pilar Blanco gives an insight into the writing of the Mexican Revolution, with Nellie Campobello’s Cartucho. Finally, Dominic Moran talks about Julio Cortázar’s expertly crafted, highly deceptive short story “Continuidad de los parques.” 

Future episodes, we hope, will feature Spanish-Peninsular literature, as well as more texts from the medieval and early modern (Golden Age) periods.

And you can listen to the trailer here…

Ben Bollig.

Professor of Spanish American Literature,

University of Oxford

Spanish Flash Fiction: Highly Commended Stories

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We’ve had the privilege of reading the winning stories in this year’s Spanish Flash Fiction competition, as well as the tremendous runners up. But, happily, it’s not over yet, as today we take a look at the highly commended entries.

Ayer, Hoy y Mañana

¿Es el cielo? Me pregunté ayer. Me aferraba a la espalda de mi madre. Estábamos rodeados de árboles verdes y masticábamos hojas de eucalipto entre otros koalas. Éramos felices. Esto era Australia, mi casa.
Ahora estoy despierto y solo. Estoy luchando por respirar, hay fuego por todos lados. Mis patas ya no pueden agarrarse a este árbol. ¿Dónde está mi madre?
Brazos fuertes me levantan y me alejan de las llamas. Los vendajes sanarán mi piel quemada. Somos los sobrevivientes tristes, rotos y perdidos. Detrás de los vendajes hay esperanza, mi madre será rescatada de los fuegos. Prevalece la humanidad.

(Maia Delin, Year 7)

El pescador

Durante horas y horas evadimos la red. El hombre tuvo que rendirse pronto. Miré el otro pez nadando por la libertad, de repente la red estaba debajo de mí, me había distraído yo. El pescador me levantó del agua. Miró a mis ojos y vio el cambio de felicidad para la culpa. El hombre admiraba mi cuerpo elegante. Golpeé el agua y sentí el frío en mi cara. Fui libre una vez más, pero supongo que volverán.

(Elizabeth Brawn, Year 9)

El río rojo

La masa de gente se retuerce en el caos. Caras con ojos asustados, revoloteandos para todos lados. Bocas abiertas. Proyectiles vuelan y el mar de cuerpos se bifurca. 
Las calles están manchadas, y un río de color rojo fluye hacia la plaza mayor. El aire se llena con gritos y el impacto de los misiles. Alguien gatea enfrente de mí con manos escarlatas.
A la izquierda puedo ver un niño riendo, y en mi nariz, puedo oler el aroma de los tomates. 

(Antonia Veary, Year 12)

Todos pensábamos que era un mito Masai. qué error. Sentado junto al fuego crepitante hecho de ramas secas de acacia, respirando el aire fresco de las tierras altas y escuchando la música de la noche africana. Una cacofonía de sonidos del arbusto de los grillos, búhos y la risa distante de una hiena. De repente, todo estaba tranquilo. una manta de silencio espeluznante nos envolvió. Vi sus ojos primero, como cuchillos de oro que perforaron en nuestras almas. Su elegante cuerpo negro emergió del arbusto, nuestros corazones latiendo era el único sonido que se escuchaba. el leopardo negro existe.

(Siena Cheli, Year 12)

Student Q&A

Today would have been an Oxford open day, a date we look forward to every year as a chance to meet lots of prospective students and tell them why we think studying languages at Oxford is special. This year, that open day sadly can’t go ahead but some of our current students have come to the rescue!

We know that meeting the undergraduates is one of the best ways to really get a feel for what it’s like to study at Oxford, to feel part of the community and to hear from someone who has been in your shoes not so long ago. We asked eight of our current students some questions that we are frequently asked at open days. They are studying different languages, are at different stages in their degrees, and are at different colleges – we hope this will help you to get a sense of the variety of student experiences here at Oxford. And, of course, we do hope to meet you one day!