All posts by Natasha Ryan

Student Snapshot

Over the last few weeks, we have shared with you some of the material we would normally tell you about at an open day. Dr Simon Kemp, Tutor in French and Co-Director of Outreach, gave us a video overview of what it’s like to study modern languages at Oxford… but do the current students agree?

We asked three current undergraduates to tell us a little bit about their experience of studying languages with us: Dalveen is in her first year studing Spanish and Linguistics; Alex is in his second year studying French and History; Charlotte also studies French and History and is in her final year. Here they give us a glimpse of what Oxford has been like through their eyes.

Something New: An Introduction to Linguistics

Linguistics is an increasingly popular area of study amongst our undergraduates, with some opting to study the subject as one half of a ‘joint schools’ degree (a degree where you combine two subjects e.g. ‘Modern Languages and Linguistics’), while others study it within their Modern Languages degree as an optional paper. But, for most people, linguistics is not something they will have had a chance to study at school and the subject will be brand new to them when they start at university.

So what exactly is linguistics? Fortunately, our colleague from the Faculty of Linguistics, Dr Jamie Findlay, has recorded an introduction to the subject. Check it out below and, if you like what you hear, perhaps consider incorporating linguistics into your degree…

French Flash Fiction Competition: Commended Stories

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It’s our final flash fiction post of the season and, to wrap up, we bring you some of the brilliant stories from the students in the Years 7-11 category who were commended by the judges. Félicitations!

Comment être un chien

Pour être un chien, il faut être très mignon. Tes yeux sont faits pour dire, « j’ai très faim ! » ou « je veux jouer toute la journée, sans arrêt ! » et ta fourrure est réconfortante à toucher.
« Voilà, Galette. » dira ton maître, et il te câlinera. Tu as, maintenant, une tranche de bœuf magnifique.
Aussi, tu dois manger tout, aller au jardin, jouer tout le temps et marcher sur le tapis avec des pieds sales.
« Non, Galette ! »
Mais surtout, cherche toujours le sourire de ton maître, parce que s’il n’est pas content, ton travail n’est pas fini.

(Carla Lubin, Year 7)

C’est le 6 Juin 1844 à Luc sur Mer, je prépare ma toile pour la peinture. La plage est silencieuse. Je suis perdu dans ma dessin quand brusquement, le ciel devient gris, la pluie couvre le ciel mais mes doigts ne veulent pas s’arrêter. Je peins plus que je peux vois. La mer semble rouge alors que des centaines d’hommes montent la plage de navires et battements métalliques que je n’ai vu jamais auparavant. Tous les hommes portent la même vert vêtements. Ma toile est rempli avec guerre et horreur.

 Mon frère il regarde la toile. ‘Quelle imagination tu as’.

(Lara Hardy-Smith, Year 11)

C’était une journée normale à Londres, en Angleterre, à la fin de l’été 1666. Il faisait chaud et le soleil brillait brillamment sur la Tamise. La place du marché grouillait d’acheteurs et de vendeurs et la boulangerie avait une longue file d’attente; très probablement en raison de l’odeur de pain sortant du four. Au fil du temps, les cris des marchands sont partis et le soleil s’est couché sous l’horizon. Dans la boulangerie, le boulanger emballait ses pains lorsque quelqu’un entra. En fait, c’était un chien! Un petit chien mignon. Un petit chien mignon avec une torche allumée dans sa bouche. Soudain, il jeta la torche au fond de la boulangerie et un terrible incendie se déclara.

C’est vraiment ce qui s’est passé et ce qui a déclenché le grand incendie de Londres.

(Aiden Politiek, Year 10)

Deux mondes

Mes ennemis suivent mon moindre pas, je ne peux pas m’arrêter. Je marche, seul, hanté par une peur invisible et féroce. Je suis un chevalier perdu, épouvanté par ma solitude et craignant de ne jamais revoir mon royaume. Soudainement, une figure pale surgit des bois obscurs : elle s’avance et la lumière révèle un visage grave. “Aidez-moi, s’il vous plait…” ma soif et fatigue sont telles que mes lèvres ne bougent presque plus. Mais l’homme, sans empathie, indique l’horloge. “C’est l’heure, mademoiselle, rentrez chez vous.” Alors, timidement, je ferme le livre et me hâte de laisser la bibliothèque déjà vide.

(Silvia Rossi, Year 10)

L’ombre de Venise

Venise. Le soleil plongeait ses couleurs corail dans le canal. Un jeune garçon longeait les quais, jetant des galets dans l’eau opaque. Il aperçut une ombre, regarda vers le ciel. Rien. Il suivit le fantôme vers des ruelles lugubres et isolées, seules quelques étoiles perçaient le crépuscule. Soudain son pied fut happé à travers les planches tordues dans le canal brumeux. Des bulles jaillirent de sa bouche, ses cheveux se métamorphosèrent en corail argenté, de fines écailles grises transpercèrent sa peau devenue diaphane. Il hurla, regarda ses mains palmées. L’ombre fit un signe. Il s’enfonça dans les profondeurs de Venise.

(Clémence Buffelard, Year 9)

Je ne dormais pas. Je m’appelle Jacques et je ne dormais pas. Depuis que cette chanson a été faite, ma vie a changé. Tous les jours, tout le temps, les enfants chantent la chanson ennuyeuse. Je trouve ça ennuyeux car je ne dormais pas mais je mangeais mon petit déjeuner. J’appréciais ma bouillie mais j’ai alors oublié de sonner les cloches du matin. Donc, je vous en supplie, s’il vous plaît, arrêtez de chanter la chanson.

(Kairav Singh, Year 9)

Je cours

Je cours. Je n’ai pas beaucoup de temps. Je besoin de la faire avant ils réalisent je suis parti. J’arrive à le pont. Il y a les voitures au-dessous de moi. Il y a l’excès de vitesse le long de l’autoroute. J’arrive à la barrière. J’escalade. Je saute. Je me réveille. Je retourne à le pont. J’arrive à la barrière. J’escalade. Je saute. Je me réveille. Je retourne à le pont. J’entends un moteur vrombissement. Un camion vient à moi. Il me frappe. Je ne vois rien. Certain choses vous ne pouvez pas échappé.

(Jonathan Stockill, Year 7)

“Soit dit en passant, Harry,” dit le professeur Dumbledore à mi-chemin du livre six, “une prophétie dit que vous seul pouvez vaincre le mal Lord Voldemort. C’est pour ça qu’il essaie de te tuer. Vous devez détruire les sept morceaux de son â me, et il vous reste un livre pour le faire. Ne vous attendez pas à de l’aide de ma part; Je serai assassiné de façon spectaculaire en deux chapitres. En plus de cela, il ya des examens à passer et des remous hormonaux à composer avec. Maintenant, souhaitez-vous être allé à ce Muggle complet?”

(Ryan Kwarteng, Year 7)

C’était son premier jour. Après que sa carrière musicale n’ait pas fonctionné, Morhange s’est retrouvé à regarder la grande entrée de Fond de L’Etang, un endroit qu’il avait toujours voulu quitter mais qu’il n’avait jamais pu. Il est entré dans l’école et a vu son ancienne salle de classe. à l’intérieur, ses nouveaux élèves attendaient patiemment. Morhange pensa à Clément Mathieu et le remercia avant de prendre une profonde inspiration et d’entrer dans la pièce. Un étudiant a crié: “Qui êtes-vous?” Souriant, Morhange a dit “Bonjour classe. Je m’appelle M. Morhange. Je suis votre professeur de musique.”

(Riya Mistry, Year 9)

(Harriet Preston, Year 9)

Branching Out: Picking up a language from scratch

One of the wonderful things about studying languages at university is that you quite often have the opportunity to pick up a new language from scratch. This can be a wonderful chance to immerse yourself linguistically and culturally in something brand new. At Oxford, within the Medieval and Modern Languages Faculty, you can study Italian, Russian, Portuguese, German, Modern Greek, Czech or Polish as a beginners’ language.

In this video, Julie Curtis, Professor of Russian at Oxford, tells us a bit more about why that could be an exciting option…

Spanish Flash Fiction: Commended Stories

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Today we bring you the final collection of stories from this year’s Spanish Flash Fiction competition, having seen the winners, runners up, and highly commended entries in the last couple of months. Here we have some of the commended stories. A huge well done to everyone who took part in the competition and particularly to those who were commended by the judges.

Reminiscencia de mi abuelo

Una sonrisa infantil brillaba en su cara, tan inocente, a pesar de la frente arrugada y la piel envejecida. Sus ojos llenos de mil tonos de azul admiraban el paisaje perfectamente imperfecto. En su expresión, había una pura alegría de vivir – estaba sentado en un banco precario, acurrucado, los rayos del sol cayendo sobre su frágil piel manchada de pecas. Contaba historias, como si fuera un niño liberado de las cargas de la vida.
Años después, me siento en el mismo banco; sin embargo, todavía siento su presencia, a pesar de que él no está aquí.

(Flora Moayed, Year 10)

Una Noche En Madrid

Madrid. Las calles estaban llenas de color. Deliciosos olores vagaban por el aire. El ajetreo u bullicio ruidoso de las noches hizo que las calles cobraran vida. Fuera de un restaurante, se sentó una niña sabor de sus churros riquísimos. El azúcar cubrió sus labios que lamió con deleite. Las farolas eran estrellas que guiaban el camino. Sonriendo y charlando, la gente pasaba caminando; ocasionalmente alguien se detenía para entrar a un restaurante.
La noche era joven.

(Martha Pearce, Year 11)

El buzón

La chica siempre devoraba esas cartas, que llegaban – ¡inesperadas! – en
su buzón rojo, oxidado.

Sus dedos temblaban cuando abría los sobres sepias y acariciaba cada palabra
…hasta que las letras florecían. Una avalancha floral. El sonrojo dulce y el amarillo tierno.
Cada sílaba podía oír el ritmo de su intención y recordaba cada pieza del rompecabezas
olvidado, desde hace años.

Pero la chica no podía transcribir la voz de su mente en palabras de tinta

entonces el remitente pereció,
sucumbió.
decían:

una falta de humanidad.

(Martha Wells. Year 12)

Q&A with the tutors

If you’re exploring your options with regard to universities, you probably have lots of questions, perhaps about the different courses on offer or the application process, maybe about the year abroad or what kind of jobs your degree with set you up for. Two of our tutors and Co-Directors of Outreach got together to record some responses to frequently asked questions. Prof. Julie Curtis teaches Russian and Dr Simon Kemp teaches French. Here they are providing some answers to the questions you might have…

FAQs

0:33 What is the standard A Level or equivalent offer for Oxford Modern Languages courses?

01:24 Should I try to take four subjects at A Level? Do you take EPQs into account?

02:50 Can I take a gap year before starting my course?

04:58 What do you look for in a personal statement?

06:29 What do your language tests look like?

08:45 What schoolwork should I send in?

10:13 What happens in an interview?

12:57 How should I choose a college?

15:07 If I study two languages are they both studied up to the same level? What if I take one of those languages frm scratch?

17:00 How does a ‘joint school’ affect the Modern Language?

18:57 How do I plan my year abroad? When I’m on it, how do I keep up my studies in the other subject?

22:54 What careers do Modern Languages graduates go on to have?

French Flash Fiction: Highly Commended Years 7-11

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We’ve seen the highly commended Fernch stories from the sixth formers so let’s see what the younger students had to offer. Here are some of the highly commended entries from the students in Years 7-11…

La voix de langue

Bonjour ! Ça va ? Ces phrases pourraient être dites de différentes manières. Mes petits symboles qui aident à former de structures, qui forment une chaîne de dialogue qui sort de la bouche des gens, ou n’importe où ailleurs. Si je n’ai jamais existé, comment auriez-vous dit à quelqu’un que vous les aimiez, fait rire quelqu’un ou même communiqué du tout? Vous voyez donc? J’existe sous plusieurs formes. Je tiens les portes de communication. Mes mots détiennent les clés de toutes les émotions. Rappelez-vous donc toujours. Les mots peuvent inspirer, les mots peuvent détruire. Alors, s’il vous plait choisissez-les judicieusement.

(Davina Balakumar, Year 9)

La Neige

Elle examinait le livre poussiéreux. “La neige” la chose blanche s’appellait. Elle apparaissait chaque hiver. Toujours l’hiver l’avait embrouillé. Les saisons avec les temps différents, les temperatures différentes, elles étaient étranges. Sa mère pourrait se souvenir de, avec doute, la neige quand elle était jeune. Mais maintenant la neige était une relique du passé. Elle était dans les films âgés, décrivée d’avoir froid, d’être fraiche. Mais tous ces “hivers” étaient le même: chaud et sec. De l’eau, comme d’habitude, était chaud et rare. Elle ne devenait jamais les cristals. Elle n’avait pas besoin de les devenir. Elle était déjà précieuse.

(Georgia Clarke, Year 10)

Ma vie

J’habitais dans un monde de verre – je mangerais et je dormais. Ma vie était une existence morne et j’ai désiré la liberté et la passion! Tous les jours, j’ai essayé de m’échapper. J’ai sauté plus haut qu’une gazelle et j’ai fouillé pour une sortie avec plus de détermination qu’un inspecteur. Mais puis, un jour, mon monde a basculé. Soudainement, je ne pouvais pas respirer! Je tombais pour un long moment, avant d’atterrir dans la toilette.
Maintenant, je sais que la liberté n’est pas ce que j’attendais. Moi, un poisson rouge, devrait être plus prudent que je souhaite!

(Isaac Timms, Year 9)

La nostalgie fanée

Ah, les plaisirs simples de la jeunesse. Une rose poussiéreuse, douce et rouge. Yeux verts au milieu de la nuit et l’odeur familière du vin aigre. Le rire des danses qui étaient toujours des erreurs. Le rire résonne encore à mes oreilles des années plus tard.
Ces souvenirs sont des morceaux d’une époque à laquelle je ne pourrai jamais revenir, une ère de nostalgie douce-amère.
“Ah, Maman.” soupire la femme devant moi. “Pourquoi tu ne te souviens pas de moi?”
Bien que je me souvienne de son visage, je ne sais pas toujours qui elle est.
Le rire résonne encore.

(Jamilya Bertram, Year 11)

Mon grand-père né au milieu de 1919 était destiné à combattre dans la Seconde Guerre mondiale. c’était une nuit fraîche éclairée seulement par la lueur orange du soleil couchant, nous nous sommes précipités vers la maison de grand-père alors que son hangar de dix ans a brûlé jusqu’au sol. Un couple de pompiers nous a laissés tout près alors qu’ils se précipitaient pour pomper l’eau du ruisseau à 800 mètres.
Nous avons regardé le hangar monter en flammes, ce qui a réveillé de bons souvenirs.
La vraie tristesse est venue lorsque mon grand-père âgé, qui nʼétait pas sorti du lit, a tranquillement demandé si les photos de son régiment étaient en sécurité.

(Joanna Kazantzidi, Year 7)

Dans la bibliothèque, il y a des lumières. Les lumières qui volent comme les étoiles dans le ciel de minuit. Mais cette beauté est dangereuse. On peut s’oublier.
Et si on va plus loin dans la bibliothèque, ce que on trouve sont des armes de milliers. Elles sont les choses les plus dangereuses et puissantes dans le monde entier.
Chaque soldat l’a construit en utilisant les mêmes vingt-six lettres. Chaque arme est différente.
Toutes sont complètement différentes à cause de l’émotion. La tristesse. La joie. La colère. La peur.
Ça, c’est la vrai magique.

(Katy Marsh, Year 11)

Auto-Isolement

Je jette et tourne depuis heures quand j’ai décidé que je me lèverais. J’étais chaud, donc j’ai ouvert la fenêtre. Soudain, j’ai entendu un bruit. Il me semblait qu’il m’appelait. Impossible ! Néanmoins, je suis sortie de ma fenêtre, et je volais ! J’ai flotté entre les nuages et s’est envolé sur les toits. J’étais aux anges avec ma nouvelle habilité, et j’ai voulu  voir le monde. J’ai volé dessus des grandes-villes impressionnantes, et les plages la plus belles. Mais, finalement j’ai dû retourner. J’ai pensé, demain je devrai rester chez moi. Si seulement mes rêves pouvaient durer éternellement.   

(Megan Beach, Year 11)

Olympe de Gouges

Ils méprisaient mes idées, méconnaissaient mes droits et, pire encore, opprimaient mon peuple. Cependant, je me tiens ici avec une dignité sans tache, car peu de femmes ont eu l’occasion de le faire, et je vois ma tragédie comme un pas vers d’égalité; un dernier acte de défi de ma part. Je serai forte. Je vais me battre jusqu’à la fin. Bien que la lame hostile me nargue ainsi, je ne me soumettrai pas à son regard inamical. Je ne mourrai pas en vain. Les enfants de ma ville natale vengeront ma mort.

(Ruby Watts, Year 10)

Apollo Vingt

«BIP, BIP!» C’est la pagaille dans l’agence spatiale internationale. «DÉTONATION!» La fusée est lancée dans le ciel aussi vite qu’un éclair sans regrets. La fusée avance à toute vitesse, presque en orbite, Apollo vingt est plus chaude que la lave. Louis Armstrong et Sylvie Aldrin regrettent d’avoir pris ces décisions qui allaient changer leurs vies, tout en progressant de plus en plus rapidement. Louis regarde par la fenêtre épaisse et ovale et ce qu’il voit de ses yeux baignés de larmes était transcendant. Il fixe paralysé par l’horreur car sur Mars il voit un million d’yeux lui fix du regard.

(Toby Greenwood, Year 8)

Je suis une armoire qui ne sera jamais oubliée par mon utilisateur, mais qui dans le coin de cette pièce délabrée, n’aurait jamais de deuxième vie.
Ouvrez-moi et vous verrez mon passé.
Dans le premier tiroir se trouve l’enfance et le bonheur. Jetez-y un œil et les couleurs rayonnantes des vêtements vous frapperont.
Dans le second tiroir se trouve la romance et l’amour. Reniflez un peu et vous sentirez le doux parfum des fleurs.
Dans le troisième tiroir se trouve la mort. Un endroit sombre mais pourtant pas aussi effrayant à ce qu’il parait.
Pour toujours, je l’accompagnerai.

(Tom Clapham, Year 10)

La bombe. Le flash. Soudain, j’étais de retour dans la salle de classe surchauffée. J’ai ouvert les yeux lorsque la maison où j’ai été faite a été engloutie par les flammes. Je peux encore sentir sa prise chaude contre mon nouveau corps velu. Mais je suis toujours là, le rembourrage bleu squashy réconfortant mon corps rempli de cendres. La fumée emplit mes yeux et mon nez suffocant. J’habite à Londres cette ville, de puissants incendies se sont propagés dans les maisons. Je suis Winston le Teddy qui a survécu à la Seconde Guerre mondiale.

(Yuvraj Kambo. Year 9)

French Flash Fiction: Highly Commended Sixth Formers

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This week on Adventures on the Bookshelf we’re continuing to showcase some of the top entries from this year’s French flash fiction competition. Here are some of the highly commended stories from the older category. Well done to everyone!

Les Arbres

Les arbres voient beaucoup de choses que nous ne connaissons pas. Ils gardent des secrets, ils se souviennent du passé, et si on pense assez fort, ils peuvent entendre nos pensées. Avez-vous déjà pensé “Les arbres. Pourquoi sont-ils si étrange?” Si on pourrais communiquer avec eux, révélerait-ils leurs mystères?
Croyez-le ou non, je parle parfois avec les arbres. Je veux les comprendre, donc je leur pose des questions. Le matin, je m’asseoie sous l’arbre dans mon jardin- je le regarde comme un roi ou un montagne majestueux. Chaque matin je demande “À quoi vous pensez?”
J’attends encore une réponse.

(Lily Bamber, Year 12)

Ma mère et moi sommes venus en France il y a cinq mois. On est venus avec l’espoir d’une vie plus heureuse qu’au Congo où il y a la guerre. Nous restons dans une auberge miteuse et pleine d’escrocs. Il y a deux semaines que mes boucles d’oreilles en or de Maman Shungu ont été volées. J’les y laisse sur mon lit et quand je reviens elles avaient été prises sous mon oreiller. Si tu gardes ces bijoux t’aura de la chance elle m’a dit. Je pense que c’est de la superstition. Nous serons coincés ici pour toujours. C’est dommage.

(Ketsia-Patience Kasongo, Year 13)

Le ciel violet

Je le regarde, du coin du grenier. Il s’asseoit parfaitement immobile en regardant le ciel violet. Sa chaise est centrale dans la chambre, le seul meuble là-bas, et il est enveloppé par la nuit étoilée, sa concentration a souligné par le silence. Son visage est assombri par une brume violette. Bien que nous soyons à distance de toucher, nos âmes sont seules, tourmentées par leur isolement. Je ne peux plus y résister. Je me dirige vers lui, mets ma main sur son épaule et je peux sentir son frisson sous moi- il me manque, il me manque. J’aimerais être vivant.

(Emily Bell, Year 12)

En France, il y a de la liberté, de l’égalité, de la fraternité, mais il n’y a pas de mangues. Bon, elles sont là, mais elles sont séchées et ratatinées comme le sein d’une vieille. La lumière de miel de mon enfance ne peut pas traverser la frontière, alors les mangues ici boivent une lumière grise comme les eaux usées. Chez moi, le nectar d’or des mangues brille sur la peau et le goût sucré reste dans la bouche pendant des heures. La douceur de ces mangues me rendait éloquente. Ici, je n’ai pas de mots.

(Blessing Verrall, Year 12)

L’attente

L’attente est un état d’âme permanent. C’est quasiment un acte qui nous accable, tous.
Elle, (la fille) attend son bien-aimé. Elle vie dans l’anticipation aigue d’un signe de vie, d’un texto. Une attente solennelle, angoissante et même sublime. Chaque instant est en stase, pesant et pénible. Son état d’âme est aussi accablant que le néant d’une pièce blanche vide. L’attente provoque des suppositions, de telle sorte que la fille perd tout sens des proportions.
Lui (le bien-aimé) ne l’attend pas. Il ne sait pas qu’il la fait attendre. Il est absent car il l’a oublié.

(Allegra Stirling, Year 12)

Le Cadeau

Elle a regardé le reflet de la poupée. Elle a ouvert la porte et est entré dans le magazine. Elle a établi un contact visuel avec le marchand. Attrapant la poupée, elle a sprinté par la porte et dans la rue. Le commerçant a crié après elle. Elle a tourné le coin et a couru vers son amie. “Joyeux Anniversaire!” elle a chuchoté, en donnant la poupée à la petite fille. Elle a ensuite regardé la fille réveiller sa mère et ses quatre frères, tous qui dormaient sur le bord de la route. “Regardez,” dit-elle avec un immense sourire, “j’ai un cadeau.”

(Harriet Townhill, Year 12)

Il fait mauvais, comme toujours. Deux piqûres d’épingle percent les nuages comme des yeux, qui me regardent comme si je trangressais la loi. Mais non, je fais les courses ! Je m’assure que j’ai mon attestation et ma liste. Je doute que je puisse en cocher la moitié cette fois, mais il faut quand même essayer. J’ai apporté deux sacs, même si je sais que je n’en aurai besoin que d’un. D’ailleurs, j’aurais laissé les pâtes, les œufs, s’ils avaient été encore là ; je suis habituée à être altruiste. Pause terminée… aucune provision. J’entre dans l’hôpital.

(Nikita Jain, Year 13)

Spanish Flash Fiction: Highly Commended Stories

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We’ve had the privilege of reading the winning stories in this year’s Spanish Flash Fiction competition, as well as the tremendous runners up. But, happily, it’s not over yet, as today we take a look at the highly commended entries.

Ayer, Hoy y Mañana

¿Es el cielo? Me pregunté ayer. Me aferraba a la espalda de mi madre. Estábamos rodeados de árboles verdes y masticábamos hojas de eucalipto entre otros koalas. Éramos felices. Esto era Australia, mi casa.
Ahora estoy despierto y solo. Estoy luchando por respirar, hay fuego por todos lados. Mis patas ya no pueden agarrarse a este árbol. ¿Dónde está mi madre?
Brazos fuertes me levantan y me alejan de las llamas. Los vendajes sanarán mi piel quemada. Somos los sobrevivientes tristes, rotos y perdidos. Detrás de los vendajes hay esperanza, mi madre será rescatada de los fuegos. Prevalece la humanidad.

(Maia Delin, Year 7)

El pescador

Durante horas y horas evadimos la red. El hombre tuvo que rendirse pronto. Miré el otro pez nadando por la libertad, de repente la red estaba debajo de mí, me había distraído yo. El pescador me levantó del agua. Miró a mis ojos y vio el cambio de felicidad para la culpa. El hombre admiraba mi cuerpo elegante. Golpeé el agua y sentí el frío en mi cara. Fui libre una vez más, pero supongo que volverán.

(Elizabeth Brawn, Year 9)

El río rojo

La masa de gente se retuerce en el caos. Caras con ojos asustados, revoloteandos para todos lados. Bocas abiertas. Proyectiles vuelan y el mar de cuerpos se bifurca. 
Las calles están manchadas, y un río de color rojo fluye hacia la plaza mayor. El aire se llena con gritos y el impacto de los misiles. Alguien gatea enfrente de mí con manos escarlatas.
A la izquierda puedo ver un niño riendo, y en mi nariz, puedo oler el aroma de los tomates. 

(Antonia Veary, Year 12)

Todos pensábamos que era un mito Masai. qué error. Sentado junto al fuego crepitante hecho de ramas secas de acacia, respirando el aire fresco de las tierras altas y escuchando la música de la noche africana. Una cacofonía de sonidos del arbusto de los grillos, búhos y la risa distante de una hiena. De repente, todo estaba tranquilo. una manta de silencio espeluznante nos envolvió. Vi sus ojos primero, como cuchillos de oro que perforaron en nuestras almas. Su elegante cuerpo negro emergió del arbusto, nuestros corazones latiendo era el único sonido que se escuchaba. el leopardo negro existe.

(Siena Cheli, Year 12)

Student Q&A

Today would have been an Oxford open day, a date we look forward to every year as a chance to meet lots of prospective students and tell them why we think studying languages at Oxford is special. This year, that open day sadly can’t go ahead but some of our current students have come to the rescue!

We know that meeting the undergraduates is one of the best ways to really get a feel for what it’s like to study at Oxford, to feel part of the community and to hear from someone who has been in your shoes not so long ago. We asked eight of our current students some questions that we are frequently asked at open days. They are studying different languages, are at different stages in their degrees, and are at different colleges – we hope this will help you to get a sense of the variety of student experiences here at Oxford. And, of course, we do hope to meet you one day!